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POLITIQUE

GODÉ MPOYI PRIS DANS UN FAUX EN ÉCRITURE

*A force de vouloir ériger un autel pour sacrifier Gentiny Ngobila Mbaka, le pasteur Godé Mpoyi Kadima se fourvoie dans un faux en écriture qui veut forcer la Constitution de la République à proroger un mandat échoué .*

Le constat est fait par les juristes et lecteurs des lois de la République.

Notez qu’au-delà du fait d’avoir été déchu lui et son bureau par la plénière de l’Assemblée provinciale de Kinshasa, le pasteur MPOYI devenu disciple de Koffi Olomide à la chaire , ne résigne pas d’engager l’organe délibérant de Kinshasa en violation des lois de la République.

La dernière bourde en date est cette sulfureuse correspondance du 27 janvier 2024 adressée au Vice Premier Ministre en charge de l’Intérieur, Sécurité et Affaires Coutumières Peter Kazadi pour s’opposer à la réhabilitation du gouverneur de la ville de Kinshasa.
Godé Mpoyi y fait des hérésies juridiques lesquelles empêcheraient Ngobila de continuer d’exercer ses fonctions.

Cependant, en utilisant le papier entête de l’Assemblée provinciale de Kinshasa pour ce courrier officiel, Godé Mpoyi a oublié que son mandat s’est terminé depuis le 20 décembre 2023 conformément à la Constitution et qu’après les élections générales du 20 décembre 2023, le Règlement intérieur de l’Assemblée provinciale de Kinshasa confie l’intérim au Secrétaire Provincial qui expédie les affaires courantes et convoquera la prochaine plénière inaugurale de la prochaine législature.

Selon les spécialistes du droit, le président Godé Mpoyi n’attend plus que la remise et reprise avec le prochain bureau d’âge mais ne peut plus engager l’organe délibérant de la ville Kinshasa.
Ainsi la dernière lettre de Godé Mpoyi est un ronflant faux en écriture qui ne dit pas son nom et force la Constitution de la République à proroger son mandat au-delà du 31 décembre 2023. Une folie!
On ose croire que le Vice Premier Ministre de l’Intérieur ne reviendra plus sur cette énième preuve d’acharnement contre un gouverneur élu et allié du Chef de l’État qui force l’administration des Kinois.
S’il existe un prétendant successeur à l’hôtel de Ville de Kinshasa ayant l’ambition de faire mieux que Ngobila, il n’a qu’attendre la prochaine élection des gouverneurs et prendre démocratiquement le fauteuil.

*Le Mandat*

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