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POLITIQUE

Nominations au sein des FARDC : l’A2R d’Henriette Wamu félicite le Président de la République

Dans une déclaration faite ce jeudi 20 octobre, le regroupement politique Alliance pour la réforme de la République, A2R en sigle, a félicité le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi pour les récentes nominations opérées au sein des Forces armées.

A en croire Henriette Wamu, présidente nationale de l’A2R, ils s’agit d’une réponse aux cris et pleurs du peuple congolais, afin de faire face à la guerre d’agression imposée à la RDC par les puissances occultes depuis plus de 26 ans.

« L’A2R note avec grande satisfaction que ces nominations s’inscrivent dans la détermination du président de la République, commandant suprême des Forces armées de la République démocratique du Congo, afin de garantir la souveraineté et l’intégrité du territoire national fortement menacées », a dit l’autorité morale de l’Alliance pour le progrès du Congo (APC).

Profitant de cette occasion, l’A2R a encouragé le président Félix Tshisekedi et le gouvernement à doter les forces de défense et de sécurité des moyens conséquents et adaptés à la situation au front en vue de mettre hors d’état de nuire les « forces négatives et les groupes armés, en particulier le M23 soutenu par le Rwanda, qui sement la mort, la désolation, la terreur et la destruction méchante des biens de nos compatriotes ».

L’élue de la Funa a, par ailleurs, rappelé les officiers nommés leur serment, « celui de ne jamais trahir la patrie, jusqu’au sacrifice suprême afin de pérenniser à jamais la doctrine des Pères fondateurs de la République, contenue dans notre Hymne national, le Débout congolais ».

« C’est ici l’occasion d’insister une fois de plus que l’occupation de Bunangana est une question existentielle pour la République démocratique du Congo et le meuple congolais », a-t-elle martelé. D’où, a-t-elle poursuivi, l’obligation et la nécessité pour nos Forces armées de faire preuve d’un sursaut d’orgueil patriotique pour relever le défi de l’honneur et de la dignité du peuple congolais meurtri ».

Nicolas Kayembe

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